La saturation invisible
paris, 2150. Trente journées de artifices continue. Non pas une tempête, ni une averse violente, mais une honte lente, persistante, régulière. Les gouttes s’écoulaient sans optimisme, mais continuellement, couvrant les vitres d’un voile assidu, noyant les rues sous une illumination grise. Les égouts débordaient, les transitaires disparai